GFCM:CAQ/2002/Inf.7 ![]() |
COMMISSION GÉNÉRALE DES PÊCHES
|
COMITÉ DE L'AQUACULTURE |
Troisième session |
Saragosse (Espagne), 25-27 septembre 2002 |
ÉVOLUTION DE L'AQUACULTURE MÉDITÉRRANÉENNE DEPUIS LA DEUXIÈME SESSION DU COMITÉ POUR L'AQUACULTURE DE LA CGPM |
INTRODUCTION
Ce document a pour but de mettre à jour les informations fournies aux deux premières sessions du Comité pour l'aquaculture de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée, en décrivant la progression de la production aquacole dans les bassins méditerranéen et de la mer Noire. Les statistiques présentées concernent la production des pays membres de la CGPM riverains de la Méditerranée et de la mer Noire, mais les chiffres incluent aussi la production d'eaux douces, la production aquacole de la côte atlantique française et espagnole et la production aquacole égyptienne de la mer Rouge. L'inclusion de ces chiffres s'explique par le fait que l'essentiel de la production de ces deux zones géographiques situées en dehors de la Méditerranée et de la mer Noire est écoulée sur les marchés intérieurs locaux.
Les statistiques présentées couvrent la période 1991-2000 et ont été dérivées de la base de données Fishstat de la FAO. Dans quelques cas, le Système d'information pour la promotion de l'aquaculture en Méditerranée (SIPAM) fournit aussi des statistiques pour 2001. Toutefois, comme les données régionales sont incomplètes, nous nous sommes limités à analyser les données de 2000, à partir de la base de données Fishstat de la FAO. En outre, il existe des différences entre les diverses bases de données qui devront être résolues dans un avenir proche.
LES TENDANCES GLOBALES DANS LA RÉGION
Les statistiques indiquent que la classification des pays producteurs a changé depuis 1998, l'Égypte étant désormais au premier rang, devant l'Espagne, la France et l'Italie. En Égypte, deux espèces sont responsables de l'augmentation de la production aquacole, le Tilapia du Nil (Oreochromis niloticus) et le mulet à grosse tête (Mugil cephalus), avec respectivement 157 000 tonnes et 80 500 tonnes produites en 2000. On notera que la production de ces deux espèces provient en majorité d'élevages d'eaux saumâtres. Plus de 88 pour cent de la production aquacole égyptienne provient des eaux intérieures et des eaux bordant le littoral oriental, le volume produit dans les eaux du littoral nord ou de la côte méditerranéenne étant de l'ordre de 42 000 tonnes.
De la même manière, la production aquacole de la France et de l'Espagne provient pour l'essentiel d'établissements d'élevage situés sur la côte atlantique. Dans le cas de la France, la production de l'Atlantique représentait environ 71 pour cent du total national en 2000, la principale espèce étant l'huître creuse du Pacifique (Crassostrea gigas), avec 123 500 tonnes. Durant la même année, la production aquacole de la côte atlantique espagnole représentait 89 pour cent de la production de ce pays. La principale espèce cultivée le long des côtes septentrionales et occidentales est la moule commune, Mytilus edulis, avec une production de l'ordre de 250 000 tonnes. La production méditerranéenne de la France et de l'Espagne en 2000 a été considérablement plus faible, représentant respectivement 9 pour cent et 1,3 pour cent du total, soit 24 200 tonnes et 41 tonnes. Le Tableau 1 montre le classement des trois premiers pays producteurs dans chaque zone géographique.
Globalement, l'aquaculture connaît une progression régulière depuis quelques années. La production aquacole totale de la région a atteint 1 350 500 tonnes en 2000 (Tableau 2), soit une augmentation d'environ 49% par rapport aux 907 700 tonnes enregistrées en 1996. Ceci correspond à un taux de croissance annuel moyen de 10,4 pour cent pour cette période. Le groupe d'espèces qui a observé la croissance la plus rapide est celui des poissons marins, passés de 87 000 tonnes en 1996 à 251 600 tonnes en 2000, ce qui représente une augmentation annuelle moyenne de 30,4 pour cent (Tableau 4). Les mollusques, principal groupe en terme du volume produit, sont passés au cours de la même période de 549 800 tonnes à 627 100 tonnes, soit une croissance annuelle moyenne de 3,3 pour cent, légèrement supérieure à celle des années précédentes (Tableau 4).
La valeur totale de la production en 2000 était d'environ 2 780 millions de dollars EU, soit 795 millions de dollars EU de plus que la valeur cumulée de 1996 (Tableau 3). Cette augmentation correspond à un taux de croissance annuel moyen de 8,8 pour cent. Du point de vue de la contribution à l'économie du secteur aquacole, les poissons marins sont au premier rang, avec 1 180 millions de dollars EU (587 millions de dollars EU en 1996), un changement par rapport à 1996 où les mollusques détenaient la première place.
TENDANCES DE LA PRODUCTION DE L'AQUACULTURE EN EAUX SAUMÂTRES ET DE LA MARICULTURE EN MÉDITÉRRANÉE
Si l'on considère uniquement la production de la mariculture et des eaux saumâtres dans la Méditerranée et la mer Noire, la production totale a augmenté d'environ 128 300 tonnes, passant de 230 000 tonnes en 1996 à 358 300 tonnes en 2000 (Tableau 1). Ces chiffres correspondent à un taux de croissance annuel moyen de 11,7 pour cent, contre 9,2 pour cent durant la période 1994-1998, selon ce qui a été indiqué à la deuxième session du Comité pour l'aquaculture. Cette augmentation était principalement due aux poissons marins, passés de 63 400 tonnes en 1996 à 174 200 tonnes en 2000, soit une croissance annuelle moyenne de 28,8 pour cent. Les mollusques demeurent le groupe principal pour la production, avec près de 180 000 tonnes, même si les dernières statistiques sont probablement inférieures à la réalité, en particulier dans le cas de l'Italie.
La valeur de la production de la mariculture et des eaux saumâtres dans la Méditérranée et la mer Noire était de l'ordre de 1 066 millions de dollars EU en 2000, contre 719 millions de dollars EU en 1996. Là encore, la plus forte influence a été celle des poissons marins, qui sont restés de loin le premier groupe économique d'espèces aquacoles dans la région, avec plus de 810 millions de dollars EU, soit une croissance annuelle moyenne de 10,4 pour cent, en baisse par rapport aux 16,3 pour cent signalés pour la période 1994-1998.
L'évolution de la production et des groupes d'espèces n'a pas été homogène dans les pays membres de la CGPM. La production aquacole, incluant la production des eaux douces et de l'Atlantique, a connu une croissance négative dans certains pays, comme l'Albanie, l'Algérie, la Bulgarie, la France, le Maroc et la Roumanie qui ont tous affiché une tendance moyenne négative durant la période 1996-2000. Dans le cas de l'Albanie, où le taux de croissance annuel moyen a été de -1,3 pour cent, la performance négative la plus élevée a été enregistrée en 1997. Par la suite, la production a augmenté progressivement, à un rythme annuel moyen de près de 47 pour cent. La situation est restée difficile en Bulgarie comme en Roumanie, où la production a peu à peu reculé par rapport aux volumes enregistrés à la fin des années 80 et au début des années 90. Parmi les pays qui ont un secteur aquacole relativement peu important, comme Chypre, le Liban, Malte et la Syrie, qui ont fait preuve d'une activité considérable pendant la période 1994-1998, seule Chypre a poursuivi sa tendance à la hausse, avec une croissance annuelle moyenne de 24,3 pour cent sur les cinq ans considérés.
Cependant, ces dernières années, la croissance globale du secteur a été propulsée, dans l'ordre par l'Égypte, la Turquie, la Croatie et la Grèce. Les taux de croissance annuels moyens sont restés relativement élevés dans ces pays, avec plus de 45 pour cent en Égypte, environ 24 pour cent en Turquie, 23 pour cent en Croatie et 19 pour cent en Grèce. L'Italie, qui est parmi les premiers producteurs de la région, a enregistré une augmentation de 3,4 pour cent, alors que la production de la France diminuait de 1,6 pour cent. Par rapport aux résultats présentés durant la deuxième session du Comité pour l'aquaculture en 2000, le secteur a d'une manière générale connu une croissance plus rapide.
Si l'on examine la production aquacole des eaux marines et saumâtres de la Méditerranée et de la mer Noire, l'Italie reste de loin le premier pays producteur, avec un volume de l'ordre de 168 000 tonnes enregistré en 2000, ce qui représente un taux de croissance moyen de 5,3 pour cent par an depuis 1996. Les pays de la région peuvent être divisés en gros en quatre groupes. Le premier groupe inclut les pays qui ne déclarent aucune production en eaux marines et saumâtres, à savoir le Liban, la Libye, la Roumanie et la Syrie. Le deuxième groupe contribue des quantités limitées (moins de 100 tonnes par pays) et inclut l'Albanie, l'Algérie, la Bulgarie, le Maroc, l'Espagne et la Tunisie. Un troisième groupe, rassemblant les pays dont la production est comprise entre 1000 et 4000 tonnes, comprend la Croatie, Chypre, Israël et Malte. Dans les trois premiers pays de ce dernier groupe, la croissance du secteur a été rapide, les taux annuels moyens s'échelonnant entre 30 et 60 pour cent. Malte semble avoir atteint un plateau. Le quatrième et dernier groupe, formé des pays dont la production est supérieure à 10 000 tonnes, inclut l'Égypte, la France, la Grèce, l'Italie et la Turquie. Dans ce dernier groupe, seules l'Égypte, la Turquie et la Grèce ont connu une croissance rapide durant la période 1996-2000 (53,3 pour cent, 23,7 pour cent et 20,4 pour cent respectivement).
TENDANCES DE LA PRODUCTION, PAR GROUPES D'ESPÈCES
Le tableau 5 récapitule les quinze premières espèces produites par tous les pays membres de la CGPM (production de l'Atlantique et de la mer Rouge comprise), contribuant pour 96 pour cent à la production totale de 1 350 500 tonnes. Les trois premières espèces marines sont la moule commune, la moule méditerranéenne (Mytilus galloprovincialis) et l'huître creuse du Pacifique. La mytiliculture a continué à progresser à un rythme régulier, mais relativement lent (taux annuels allant de 2,5 à 6,4 pour cent suivant l'espèce). Dans le cas de l'huître creuse du Pacifique, la production a quelque peu reculé. En 2000, le clam japonais (Ruditapes philippinarum) était classé neuvième sur la liste, et plus de 95 pour cent de la production provenait de l'Italie. Dans le secteur de la production des eaux saumâtres et de la mariculture, la progression la plus évidente concerne la dorade royale (Sparus aurata), les serranidés (Dicentrarchus spp.) et le mulet à grosse tête. En 2000, on a signalé une production de dorade royale supérieure à 85 000 tonnes, ce qui correspond à un taux de croissance annuel moyen de 27,1 pour cent pour la période 1996-2000, la Grèce assurant 45 pour cent de la production totale, soit 38 500 tonnes. Dans le cas du bar européen, en 2000 la production dépassait 52 000 tonnes, soit un taux de croissance annuel moyen de 25,9 pour cent pour la période 1996-2000, la Grèce s'adjugeant la part du lion (51 pour cent) avec un volume de 26 300 tonnes. En outre, d'après la base de données Fishstat de la FAO, un volume additionnel de 17 900 tonnes de Dicentrarchus spp (probablement bar européen) a été produit en 2000 par la Turquie. Ce type d'élevage connaît depuis quelques années une expansion rapide dans ce pays, où le taux de croissance annuel moyen a été de 36,1 pour cent durant la période 1996-2000. En outre, la progression de la production de M. cephalus mérite d'être notée, principalement en Égypte, pays où l'élevage de cette espèce semble s'être développé plus rapidement que celui du bar européen et de la dorade royale. En 2000, la production égyptienne de mulet à grosse tête représentait 66 pour cent de la production totale de cette espèce.
En ce qui concerne les espèces marines de remplacement, la situation n'a guère évolué ces dernières années. Les essais conduits pour identifier de nouvelles espèces de poissons marins se poursuivent dans la plupart des pays, mais on n'a trouvé aucun remplacement pour les deux principales espèces (dorade et bar) qui ont pâti d'une forte baisse de prix due à l'augmentation rapide de la production. Beaucoup d'essais ont été centrés sur les sparidés, mais il y a peu de chances pour que ces poissons puissent être considérés comme des remplacements d'un point de vue commercial. Parmi les diverses espèces faisant l'objet de recherches, on dispose de données concernant la production de sar à museau pointu Puntazzo puntazzo, dont l'Italie a produit 400 tonnes en 2000 et Chypre 52 tonnes.
Il convient de mentionner, à ce stade, la culture du thon rouge (Thunnus thynnus), pratiquée depuis peu en Méditerranée. Ce type d'élevage a décollé en Croatie, en Espagne, en Italie, à Malte, au Maroc et en Turquie et repose sur la capture de poissons sauvages. Les thons sont élevés en pleine mer, dans de grandes cages flottantes. Pour les repeuplements, on utilise des tailles variables, depuis les petits poissons d'environ 10 kilos jusqu'aux grands spécimens de plusieurs centaines de kilos, suivant la période. L'élevage de thons en Méditerranée est en expansion et la production a été estimée à plus de 11 000 tonnes en 2001.
En ce qui concerne les espèces d'eau douce, le Tilapia du Nil était la première de la liste en 2000, les statistiques de la FAO faisant état d'une production de 157 400 tonnes provenant à 100 pour cent de l'Égypte. La croissance de ce type d'aquaculture a été rapide et l'Égypte a triplé sa production depuis 1998. Les autres pays ayant une importante production d'espèces de tilapias sont Israël et la République arabe syrienne, qui ont obtenu une production additionnelle combinée de 10 000 tonnes pendant la même année, dont 73 pour cent provenant d'Israël. La truite arc-en-ciel (Oncorhynchus mykiss) était la deuxième espèce d'eau douce, avec une production totale de 123 300 tonnes, dont l'Italie, la France et l'Espagne se partageaient, dans l'ordre, 72 pour cent. La croissance annuelle de ce secteur est légèrement négative (- 0,9 pour cent) depuis quelques années, très probablement en raison de l'effondrement des prix du marché et des coûts de production élevés. Parmi les autres espèces d'eau douce, la carpe herbivore (Ctenopharyngodon idellus) est celle qui a connu la croissance la plus rapide durant les années considérées. L'essentiel de la production provenait de l'Égypte, avec 66 200 tonnes en 2000, soit un taux de croissance annuel moyen de l'ordre de 135 pour cent.
CONTRIBUTION, EN VALEUR, DES PRINCIPALES ESPÈCES
La contribution économique des différentes espèces au secteur demeure très variable. Le tableau 6 présente les 15 premières espèces signalées en 2000 qui représentaient ensemble près de 93 pour cent de la valeur totale de la production aquacole. Si l'on considère seulement la Méditerranée et la mer Noire, sans les espèces d'eaux douces, les deux principales espèces étaient la dorade royale et le bar européen, avec 407 millions de dollars EU et 294 millions de dollars EU chacune. Ces deux espèces représentaient ensemble plus de 25 pour cent de la valeur totale de la production aquacole en 2000. Le taux de croissance annuel moyen, en valeur, de ces deux espèces a été de 12,5 pour cent, pour un taux de croissance moyen de la production de 26,5 pour cent, ce qui reflète une chute des prix principalement due à l'augmentation de l'offre. Cette situation demeure la principale préoccupation des éleveurs en Méditerranée. Le mulet à grosse tête occupait la deuxième place, avec une valeur proche de 300 millions de dollars EU.
Les palourdes, les moules et les huîtres sont trois autres espèces marines importantes, avec une valeur totale de l'ordre de 522 millions de dollars EU en 2000. Dans le cas des moules, l'augmentation moyenne en valeur a été plus basse qu'en volume, ce qui témoigne d'une difficulté croissante à absorber la production sur les principaux marchés. Il n'en a pas été ainsi pour le clam japonais pour lequel la demande du marché continue de progresser. Les autres espèces marines inscrites sur la liste des quinze premières espèces, en valeur, sont les poissons type thon (Scombroides) et le turbot (Psetta maxima).
Dans le secteur de l'aquaculture d'eau douce, cinq espèces figuraient sur la liste des 15 premières espèces, avec une contribution supérieure à 812 millions de dollars en 2000. Dans cette catégorie, le Tilapia du Nil était la principale espèce (272 millions de dollars EU) devant la truite arc-en-ciel (255 millions de dollars EU). La carpe herbivore est une autre espèce importante, avec une contribution de 117 millions de dollars EU en 2000, suivie des saumonidés (salmo spp.) et de la carpe commune (respectivement 86 millions de dollars EU et 80 millions de dollars EU). Les espèces d'eau douce qui ont connu la croissance annuelle moyenne la plus rapide pendant la période 1996-2000, en valeur et en termes de contribution aux économies locales, sont la carpe herbivore (plus de 144 pour cent), suivie du Tilapia du Nil (environ 53 pour cent). La production et la contribution économique de la carpe commune ont considérablement baissé durant la période considérée.
CONCLUSION
En résumé, la production aquacole de la région a augmenté depuis la deuxième session du Comité pour l'aquaculture de la CGPM, de même que la contribution de ce secteur aux économies nationales. Le secteur est cependant encore confronté à un certain nombre de difficultés liées à l'évolution des marchés, à la disponibilité de sites d'aquaculture et d'intrants (principalement _ufs de poisson), aux maladies, à la planification, aux infrastructures et aux ressources humaines. Une collaboration entre les pays membres est indispensable pour résoudre ces problèmes, de nature multidisciplinaire et à l'évidence liée, qui ont fait l'objet d'une discussion approfondie lors de la Consultation sur l'Application de l'Article 9 du Code de conduite pour une pêche responsable de la FAO dans la région méditerranéenne.
Tableau 1. Production aquacole, par zone - Classement des trois premiers pays (en tonnes).
Zone |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM 91-00(1) |
CAM 96-00 |
Classement |
Pays |
Production 2000 |
Aquaculture en eaux saumâtres
|
149 704
|
164 592
|
236 227
|
306 950
|
427 256
|
15,2
|
30,0
|
Afrique - eaux intérieures |
70 135 |
67 316 |
126 296 |
211 085 |
300 093 |
19,5 |
43,8 |
1
|
Égypte
|
297 935
|
Asie - eaux intérieures |
41 624 |
49 972 |
57 677 |
60 584 |
67 844 |
12,8 |
13,0 |
1
|
Turquie
|
43 385
|
Atlantique - Centre Est |
120 |
276 |
202 |
196 |
177 |
-2,3 |
10,2 |
1 |
Maroc |
177 |
Atlantique - Nord-Est |
399 987 |
403 453 |
466 497 |
475 611 |
468 051 |
2,6 |
4,0 |
1
|
Espagne
|
278 585
|
Europe - eaux intérieures |
165 828 |
173 558 |
161 128 |
155 070 |
156 086 |
0,2 |
-1,5 |
1
|
France
|
54 078
|
Méditerranée/mer Noire |
229 994 |
246 887 |
289 766 |
318 628 |
358 271 |
8,2 |
11,7 |
1
|
Italie
|
167 775
|
(1): Taux de croissance annuel moyen.
(2): Algérie et Jamahiriya arabe libyenne.
(3): Liban et Chypre.
(4): Roumanie, Bulgarie, Croatie, Grèce et Albanie.
(5): Égypte, France, Croatie, Chypre, Malte, Tunisie, Maroc, Albanie, Espagne, Algérie et Bulgarie.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).
Tableau 2. Production aquacole dans les pays membres de la CGPM - inclut la production des eaux douces et de la côte atlantique (en tonnes).
Pays |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Albanie |
859 |
397 |
389 |
395 |
340 |
323 |
97 |
124 |
310 |
307 |
-10,8 |
-1,3 |
Algérie |
150 |
147 |
300 |
389 |
369 |
322 |
322 |
283 |
250 |
275 |
7,0 |
-3,9 |
Bulgarie |
7 798 |
8 132 |
7 897 |
6 100 |
4 615 |
4 727 |
5 437 |
4 252 |
7 780 |
3 654 |
-8,1 |
-6,2 |
Croatie |
-- |
6 802 |
4 603 |
4 941 |
4 007 |
2 889 |
3 510 |
5 958 |
6 228 |
6 674 |
-0,2(2) |
23,3 |
Chypre |
127 |
155 |
259 |
291 |
452 |
787 |
969 |
1 178 |
1 422 |
1 878 |
34,9 |
24,3 |
Égypte |
61 617 |
63 895 |
54 100 |
56 603 |
61 815 |
75 837 |
73 454 |
139 389 |
226 276 |
340 093 |
20,9 |
45,5 |
France |
245 094 |
250 254 |
277 323 |
280 954 |
280 786 |
285 526 |
287 243 |
267 855 |
264 850 |
267 767 |
1,0 |
-1,6 |
Grèce |
12 615 |
20 306 |
32 578 |
33 182 |
32 644 |
39 852 |
48 838 |
59 926 |
79 474 |
79 879 |
22,8 |
19,0 |
Israël |
15 102 |
12 211 |
13 604 |
14 984 |
16 180 |
17 553 |
18 264 |
18 556 |
18 777 |
20 098 |
3,2 |
3,4 |
Italie |
175 193 |
170 377 |
166 320 |
176 421 |
214 725 |
189 373 |
195 719 |
208 625 |
210 368 |
216 525 |
2,4 |
3,4 |
Liban |
80 |
130 |
180 |
200 |
300 |
350 |
300 |
400 |
300 |
400 |
19,6 |
3,4 |
Jamahiriya arabe libyenne |
70 |
80 |
80 |
90 |
100 |
100 |
100 |
100 |
100 |
100 |
4,0 |
0,0 |
Malte |
200 |
500 |
650 |
904 |
904 |
1 552 |
1 800 |
1 950 |
2 002 |
1 746 |
27,2 |
3,0 |
Maroc |
659 |
741 |
1 193 |
1 463 |
2 072 |
2 057 |
2 184 |
2 104 |
2 720 |
1 847 |
12,1 |
-2,7 |
Roumanie |
29 530 |
24 620 |
21 100 |
20 400 |
19 830 |
13 900 |
11 168 |
9 614 |
8 998 |
9 727 |
-11,6 |
-8,5 |
Espagne |
224 971 |
168 759 |
126 130 |
177 940 |
223 965 |
231 633 |
239 136 |
315 477 |
321 145 |
312 171 |
3,7 |
7,7 |
République arabe syrienne |
3 169 |
5 116 |
4 635 |
4 521 |
5 857 |
6 355 |
5 596 |
7 233 |
6 079 |
6 797 |
8,8 |
1,7 |
Tunisie |
778 |
859 |
795 |
1 137 |
960 |
1 351 |
1 875 |
1 842 |
1 095 |
1 553 |
8,0 |
3,5 |
Turquie |
7 835 |
9 085 |
12 438 |
15 998 |
21 607 |
33 201 |
45 450 |
56 700 |
63 000 |
79 031 |
29,3 |
24,2 |
TOTAL |
785 847 |
742 566 |
724 574 |
796 913 |
891 528 |
907 688 |
941 462 |
1 101 566 |
1 221 174 |
1 350 522 |
6,2 |
10,4 |
(1): Taux de croissance annuel moyen
(2): CAM de 1992 à 2000.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).
Tableau 3. Valeur de la production aquacole, par pays - Inclut la production des eaux douces et de la côte atlantique (en milliers de dollars EU).
Pays |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Albanie |
670 |
348 |
358 |
344 |
251 |
276 |
223 |
195 |
540 |
478 |
-3,7 |
14,7 |
Algérie |
505 |
363 |
722 |
960 |
971 |
860 |
860 |
794 |
678 |
734 |
4,2 |
-3,9 |
Bulgarie |
20 725 |
21 624 |
21 004 |
16 350 |
12 374 |
13 147 |
14 858 |
11 066 |
17 025 |
7 335 |
-10,9 |
-13,6 |
Croatie |
-- |
22 799 |
12 874 |
13 700 |
12 472 |
8 963 |
11 303 |
23 037 |
23 481 |
26 487 |
1,9(2) |
31,1 |
Chypre |
1 803 |
1 888 |
2 868 |
3 108 |
4 467 |
7 512 |
8 173 |
9 013 |
9 574 |
10 304 |
21,4 |
8,2 |
Égypte |
107 174 |
107 273 |
93 526 |
103 432 |
104 994 |
145 411 |
165 871 |
327 263 |
447 146 |
815 046 |
25,3 |
53,9 |
France |
496 843 |
563 360 |
571 546 |
640 551 |
663 275 |
600 231 |
627 096 |
560 758 |
488 633 |
433 873 |
-1,5 |
-7,8 |
Grèce |
94 970 |
177 196 |
150 605 |
119 720 |
157 307 |
235 864 |
246 589 |
274 997 |
324 490 |
287 018 |
13,1 |
5,0 |
Israël |
40 391 |
32 418 |
37 193 |
40 214 |
48 906 |
52 470 |
63 415 |
64 386 |
69 866 |
76 393 |
7,3 |
9,8 |
Italie |
372 040 |
381 872 |
345 284 |
351 019 |
419 288 |
394 937 |
397 984 |
449 366 |
365 101 |
455 774 |
2,3 |
3,6 |
Liban |
280 |
488 |
720 |
1 000 |
1 500 |
1 750 |
1 500 |
2 000 |
900 |
1 200 |
17,6 |
-9,0 |
Jamahiriya arabe |
84 |
120 |
120 |
135 |
150 |
150 |
150 |
150 |
150 |
150 |
6,7 |
0,0 |
Malte |
1 600 |
4 500 |
5 850 |
8 127 |
8 127 |
10 119 |
10 336 |
10 560 |
8 509 |
5 011 |
13,5 |
-16,1 |
Maroc |
6 290 |
6 958 |
9 744 |
11 014 |
12 254 |
11 754 |
7 793 |
7 574 |
8 173 |
4 831 |
-2,9 |
-19,9 |
Roumanie |
77 102 |
69 118 |
53 110 |
51 369 |
47 982 |
35 130 |
16 572 |
15 783 |
16 544 |
15 637 |
-16,2 |
-18,3 |
Espagne |
345 539 |
216 485 |
163 285 |
203 418 |
250 015 |
250 131 |
247 943 |
307 611 |
345 584 |
382 392 |
1,1 |
11,2 |
République arabe |
14 680 |
23 698 |
21 467 |
21 645 |
26 912 |
28 986 |
25 892 |
32 876 |
28 079 |
32 090 |
9,1 |
2,6 |
Tunisie |
3 879 |
7 210 |
5 951 |
7 548 |
5 454 |
6 826 |
9 489 |
8 846 |
4 306 |
7 107 |
7,0 |
1,0 |
Turquie |
48 920 |
54 412 |
67 578 |
106 962 |
127 197 |
182 569 |
227 960 |
280 745 |
306 408 |
219 775 |
18,2 |
4,7 |
TOTAL |
1 633 495 |
1 692 130 |
1 563 805 |
1 700 616 |
1 903 896 |
1 987 086 |
2 084 007 |
2 387 020 |
2 465 187 |
2 781 635 |
6,1 |
8,8 |
(1): Taux de croissance annuel moyen
(2): CAM, de 1992 à 2000.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).
Tableau 4. Production (en tonnes) et valeur (en milliers de dollars EU) des principaux groupes d'espèces - Inclut la production des eaux douces et de la côte atlantique
Production (en tonnes) | ||||||||||||
Groupes d'espèces |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Mollusques |
521 459 |
461 828 |
440 257 |
496 534 |
566 595 |
549 783 |
554 337 |
633 560 |
642 778 |
627 054 |
2,1 |
3,3 |
Poissons d'eau douce |
120 735 |
122 700 |
109 008 |
109 967 |
104 406 |
109 200 |
107 742 |
156 297 |
233 235 |
292 398 |
10,3 |
27,9 |
Poissons marins |
25 655 |
33 701 |
42 921 |
52 317 |
68 408 |
86 987 |
99 373 |
136 818 |
176 442 |
251 639 |
28,9 |
30,4 |
Poissons diadromes |
110 593 |
119 045 |
127 059 |
132 758 |
146 746 |
156 073 |
174 253 |
171 266 |
165 414 |
176 130 |
5,3 |
3,1 |
Plantes aquatiques |
5 053 |
5 052 |
5 070 |
5 087 |
5 100 |
5 062 |
5 062 |
3 060 |
3 020 |
3 020 |
-5,6 |
-12,1 |
Crustacés |
2 352 |
240 |
259 |
250 |
273 |
583 |
695 |
565 |
282 |
281 |
-21,0 |
-16,7 |
Animaux aquatiques |
0 |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
0 |
0 |
3 |
0 |
-- |
-- |
TOTAL |
785 847 |
742 566 |
724 574 |
796 913 |
891 528 |
907 688 |
941 462 |
1 101 566 |
1 221 174 |
1 350 522 |
6,2 |
10,4 |
Valeur (en milliers de dollars EU) | ||||||||||||
Groupes d'espèces |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Poissons marins |
242 602 |
351 270 |
335 220 |
365 848 |
460 392 |
587 241 |
644 030 |
865 037 |
962 988 |
1 179 866 |
19,2 |
19,1 |
Mollusques |
682 110 |
649 266 |
573 538 |
682 204 |
801 433 |
660 938 |
630 348 |
658 289 |
641 684 |
662 247 |
-0,3 |
0,0 |
Poissons d'eau douce |
262 680 |
269 296 |
239 107 |
244 202 |
221 530 |
242 867 |
233 099 |
321 693 |
414 675 |
537 747 |
8,3 |
22,0 |
Poissons diadromes |
403 185 |
416 659 |
411 306 |
403 363 |
414 375 |
475 970 |
557 066 |
522 823 |
433 368 |
388 866 |
-0,4 |
-4,9 |
Plantes aquatiques |
2 432 |
2 450 |
1 907 |
1 868 |
1 848 |
9 724 |
8 823 |
10 371 |
8 713 |
10 045 |
17,1 |
0,8 |
Crustacés |
40 484 |
3 189 |
2 728 |
3 130 |
4 317 |
10 348 |
10 640 |
8 804 |
3 750 |
2 864 |
-25,5 |
-27,5 |
Animaux aquatiques |
-- |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
<0.5 |
-- |
-- |
9 |
-- |
-- |
-- |
TOTAL |
1 633 493 |
1 692 130 |
1 563 806 |
1 700 615 |
1 903 895 |
1 987 088 |
2 084 006 |
2 387 017 |
2 465 187 |
2 781 635 |
6,1 |
8,8 |
(1): Taux de croissance annuel moyen.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).
Tableau 5. Quinze premières espèces aquacoles, en termes de production, en 2000 - Inclut la production des eaux douces et de la côte atlantique (en tonnes).
Espèces |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Moule commune
|
241 003 |
186 333 |
146 461 |
191 100 |
231 444 |
238 424 |
241 143 |
311 862 |
313 569 |
305 730 |
2,7 |
6,4 |
Tilapia du Nil
|
22 156 |
21 505 |
19 857 |
25 214 |
21 969 |
27 854 |
30 416 |
52 755 |
103 988 |
157 425 |
24,3 |
54,2 |
Huître creuse du Pacifique
|
130 288 |
133 511 |
144 898 |
147 123 |
145 388 |
150 829 |
148 378 |
137 446 |
137 876 |
134 259 |
0,3 |
-2,9 |
Truite arc-en-ciel
|
96 991 |
103 894 |
111 404 |
116 560 |
124 351 |
127 762 |
135 272 |
127 212 |
117 269 |
123 267 |
2,7 |
-0,9 |
Moule méditerranéenne
|
112 820 |
105 232 |
112 387 |
103 392 |
110 936 |
104 768 |
106 592 |
118 435 |
121 730 |
115 519 |
0,3 |
2,5 |
Mulet à grosse tête
|
11 182 |
11 827 |
10 952 |
12 290 |
19 255 |
25 230 |
21 461 |
33 639 |
48 168 |
86 001 |
25,4 |
35,9 |
Dorade royale
|
6 152 |
9 284 |
12 737 |
20 125 |
24 029 |
32 658 |
40 669 |
53 100 |
65 747 |
85 235 |
33,9 |
27,1 |
Carpe herbivore
|
9 648 |
9 685 |
4 636 |
4 150 |
2 867 |
3 216 |
16 154 |
39 043 |
52 876 |
67 614 |
24,2 |
114,1 |
Clam japonais
|
27 116 |
26 740 |
24 000 |
40 000 |
60 000 |
40 385 |
40 140 |
49 630 |
51 826 |
55 737 |
8,3 |
8,4 |
Bar européen
|
5 864 |
9 317 |
13 557 |
14 689 |
19 180 |
20 715 |
26 970 |
34 548 |
40 635 |
52 091 |
27,5 |
25,9 |
Truites nca
|
4 146 |
6 271 |
6 848 |
6 977 |
12 689 |
18 511 |
28 505 |
34 640 |
38 580 |
44 543 |
30,2 |
24,5 |
Carpe commune
|
53 111 |
60 050 |
50 801 |
46 861 |
48 622 |
49 272 |
34 393 |
39 049 |
49 200 |
39 646 |
-3,2 |
-5,3 |
Serranidés nca
|
777 |
808 |
3 158 |
2 229 |
2 773 |
5 210 |
6 300 |
8 660 |
12 000 |
17 877 |
41,7 |
36,1 |
Tilapias nca
|
6 383 |
4 494 |
5 245 |
6 622 |
7 070 |
7 987 |
7 107 |
8 068 |
7 475 |
9 685 |
4,7 |
4,9 |
Huître plate européenne
|
3 039 |
3 644 |
2 709 |
3 740 |
4 896 |
5 154 |
4 929 |
4 911 |
5 408 |
5 453 |
6,7 |
1,4 |
TOTAL PARTIEL |
730 676 |
692 595 |
669 650 |
741 072 |
835 469 |
857 975 |
888 429 |
1 052 998 |
1 166 347 |
1 300 082 |
6,6 |
10,9 |
Autres (94 entrées) |
55 171 |
49 971 |
54 924 |
55 841 |
56 059 |
49 713 |
53 033 |
48 568 |
54 827 |
50 440 |
-1,0 |
0,4 |
TOTAL |
785 847 |
742 566 |
724 574 |
796 913 |
891 528 |
907 688 |
941 462 |
1 101 566 |
1 221 174 |
1 350 522 |
6,2 |
10,4 |
(1): Taux de croissance annuel moyen.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).
Tableau 6. Quinze premières espèces aquacoles, en valeur, en 2000 - Inclut la production des eaux douces et de la côte atlantique (en milliers de dollars EU).
Espèce |
1991 |
1992 |
1993 |
1994 |
1995 |
1996 |
1997 |
1998 |
1999 |
2000 |
CAM(1)
|
CAM
|
Dorade royale
|
82 537 |
119 830 |
115 540 |
159 415 |
192 793 |
272 996 |
287 846 |
362 075 |
375 653 |
407 151 |
19,4 |
10,5 |
Mulet à grosse tête
|
33 791 |
38 392 |
36 331 |
39 866 |
51 914 |
67 808 |
68 265 |
103 911 |
137 751 |
299 064 |
27,4 |
44,9 |
Bar européen
|
99 503 |
159 925 |
136 068 |
124 120 |
160 154 |
169 925 |
197 633 |
257 084 |
257 421 |
294 606 |
12,8 |
14,7 |
Tilapia du Nil
|
42 983 |
39 354 |
36 736 |
45 385 |
37 347 |
49 135 |
62 596 |
111 672 |
177 638 |
272 184 |
22,8 |
53,4 |
Truite arc-en-ciel
|
302 048 |
306 984 |
315 660 |
287 317 |
293 213 |
335 968 |
383 843 |
344 406 |
248 010 |
255 730 |
-1,8 |
-6,6 |
Huître creuse du Pacifique
|
260 826 |
296 174 |
287 957 |
314 385 |
339 385 |
261 929 |
243 248 |
228 169 |
231 286 |
202 233 |
-2,8 |
-6,3 |
Clam japonais
|
70 198 |
65 379 |
45 864 |
99 360 |
147 360 |
105 050 |
95 046 |
120 372 |
107 756 |
164 292 |
9,9 |
11,8 |
Moule commune
|
203 352 |
140 317 |
102 985 |
117 545 |
145 665 |
141 737 |
135 730 |
152 995 |
145 671 |
155 726 |
-2,9 |
2,4 |
Carpe herbivore
|
12 946 |
13 211 |
7 184 |
6 980 |
4 467 |
5 588 |
24 205 |
57 993 |
79 147 |
117 299 |
27,7 |
114,0 |
Truites nca
|
21 974 |
31 355 |
25 475 |
38 722 |
49 106 |
69 789 |
99 780 |
114 314 |
133 873 |
86 873 |
16,5 |
5,6 |
Carpe commune
|
108 200 |
123 814 |
105 544 |
101 711 |
101 875 |
110 618 |
86 747 |
94 056 |
98 666 |
80 389 |
-3,2 |
-7,7 |
Moule méditerranéenne
|
81 535 |
85 200 |
76 755 |
69 921 |
76 445 |
77 181 |
72 039 |
82 574 |
77 964 |
74 039 |
-1,1 |
-1,0 |
Serranidés nca
|
9 324 |
9 696 |
29 369 |
19 125 |
27 813 |
47 880 |
56 700 |
77 074 |
92 640 |
73 832 |
25,8 |
11,4 |
Poissons type thon nca
|
208 |
247 |
247 |
-- |
195 |
1 078 |
-- |
29 385 |
50 190 |
57 071 |
86,6 |
169,7 |
Turbot
|
12 627 |
17 719 |
14 410 |
20 503 |
25 755 |
23 603 |
24 779 |
25 118 |
32 264 |
35 823 |
12,3 |
11,0 |
TOTAL PARTIEL |
1 342 052 |
1 447 597 |
1 336 125 |
1 444 355 |
1 653 487 |
1 740 285 |
1 838 457 |
2 161 198 |
2 245 930 |
2 576 312 |
7,5 |
10,3 |
Autres (94 entrées) |
291 443 |
244 533 |
227 683 |
256 260 |
250 407 |
246 802 |
245 551 |
225 822 |
219 258 |
205 324 |
-3,8 |
-4,5 |
TOTAL |
1 633 495 |
1 692 130 |
1 563 808 |
1 700 615 |
1 903 894 |
1 987 087 |
2 084 008 |
2 387 020 |
2 465 187 |
2 781 636 |
6,1 |
8.8 |
(1): Taux de croissance annuel moyen.
(Sources: FAO Fishstat - Version 2.3).